mercredi 18 août 2010

Eternelle quête.

Big Bang…


 

Les yeux errants comme une lanterne perdue dans la nuit

J'ai tellement sculpté l'ombre que j'y voyais moins le jour que la nuit

Perdu comme un fou qui essaie de raisonner

J'ai laissé la vie m'emporter comme une vague lointaine

Attendant en vain la délivrance soudaine

D'une reine ou d'une esclave pour un cœur emprisonné

Qui a jamais tenté de sonder l'insondable ?

Essayé d'écouter l'inaudible ?

Voulu crier l'ineffable ?

Cherché à voir l'invisible ?

Je ne cherche pas le nirvana

Ni la cause de tous les effets

Je veux juste une Eva

Pour éclaircir mon reflet


 

Christ ENGO.

Tu pars…je reste

Ce soir la lune ne brille pas

Et dans la pénombre de mon cœur je ne peux suivre tes pas

Je te regarde partir là où je n'irai pas

Je tombe et n'attends plus que le trépas

Déjà je n'entends plus battre mon cœur

Mes muscles, mes membres, s'affaissent à chaque heure

Face contre terre, seul ton sourire demeure…


 

Christ ENGO.